[CALYPSO]

Calypso quitta son appartement du cœur de l'Upper East Side très tôt ce samedi matin là. En soupirant de mécontentement, la jeune fille, qui voulait faire une grasse mâtinée, rejeta la couette et s'extirpa du lit conjugal en faisant attention à ne pas tirer Milo des bras de Morphée. Elle ôta ensuite sa nuisette de soie noire et se précipita sous la douche. Elle en sortit quinze minutes plus tard, se sécha les cheveux jusqu'à ce qu'ils soient impeccablement lisses, les attacha en queue-de-cheval, et enfila son débardeur, son short et ses baskets de jogging. Courir allait lui vider la tête et la réveiller à fond pour bien commencer la journée. Elle embrassa délicatement son chéri avant d'attraper son IPod et ses écouteurs puis sortit dans l'air frais du matin. Elle enclencha une chanson bien punchy pour l'énergie : Take me to the riot, de Stars. La jeune femme ne pouvait pas courir sans musique. Pire : elle ne pouvait pas vivre sans. C'était... son oxygène. Elle s'échauffa durant de longues minutes et s'élança à petites foulées puis prit progressivement de la vitesse. Le vent froid d'automne lui foutait le visage. Elle ferma les paupières et sourit. Elle se sentait parfaitement bien, presque en osmose avec le monde qui l'entourait. C'était exactement cela qu'elle préférait dans la course à pieds : ce sentiment de parfaite liberté, de pouvoir faire ou aller où l'on veut. Après plus de deux heures de course rythmée et intensive, Caly s'arrêta essoufflée et se mit en quête d'un ravitaillement ou, encore mieux, d'un vrai petit-déjeuner. Elle parcourut le quartier et, au moment même où elle allait désespérer, passa devant un Starbucks Coffee. "ENFIN !" Elle entra donc et commanda un bagel et un chocolat chaud puis s'assit à une table du fond. Elle déjeunerait de nouveau avec Milo une fois rentrée mais là, son estomac criait famine. Elle commença à boire lorsqu'elle entendit la cloche de la porte d'entrée tinter.

[→ TRAVAILLE DEPUIS]

Calypso quitta son appartement du cœur de l'Upper East Side très tôt ce samedi matin là. En soupirant de mécontentement, la jeune fille, qui voulait faire une grasse mâtinée, rejeta la couette et s'extirpa du lit conjugal en faisant attention à ne pas tirer Milo des bras de Morphée. Elle ôta ensuite sa nuisette de soie noire et se précipita sous la douche. Elle en sortit quinze minutes plus tard, se sécha les cheveux jusqu'à ce qu'ils soient impeccablement lisses, les attacha en queue-de-cheval, et enfila son débardeur, son short et ses baskets de jogging. Courir allait lui vider la tête et la réveiller à fond pour bien commencer la journée. Elle embrassa délicatement son chéri avant d'attraper son IPod et ses écouteurs puis sortit dans l'air frais du matin. Elle enclencha une chanson bien punchy pour l'énergie : Take me to the riot, de Stars. La jeune femme ne pouvait pas courir sans musique. Pire : elle ne pouvait pas vivre sans. C'était... son oxygène. Elle s'échauffa durant de longues minutes et s'élança à petites foulées puis prit progressivement de la vitesse. Le vent froid d'automne lui foutait le visage. Elle ferma les paupières et sourit. Elle se sentait parfaitement bien, presque en osmose avec le monde qui l'entourait. C'était exactement cela qu'elle préférait dans la course à pieds : ce sentiment de parfaite liberté, de pouvoir faire ou aller où l'on veut. Après plus de deux heures de course rythmée et intensive, Caly s'arrêta essoufflée et se mit en quête d'un ravitaillement ou, encore mieux, d'un vrai petit-déjeuner. Elle parcourut le quartier et, au moment même où elle allait désespérer, passa devant un Starbucks Coffee. "ENFIN !" Elle entra donc et commanda un bagel et un chocolat chaud puis s'assit à une table du fond. Elle déjeunerait de nouveau avec Milo une fois rentrée mais là, son estomac criait famine. Elle commença à boire lorsqu'elle entendit la cloche de la porte d'entrée tinter.

[→ E-MAILS ENVOYES]

Calypso quitta son appartement du cœur de l'Upper East Side très tôt ce samedi matin là. En soupirant de mécontentement, la jeune fille, qui voulait faire une grasse mâtinée, rejeta la couette et s'extirpa du lit conjugal en faisant attention à ne pas tirer Milo des bras de Morphée. Elle ôta ensuite sa nuisette de soie noire et se précipita sous la douche. Elle en sortit quinze minutes plus tard, se sécha les cheveux jusqu'à ce qu'ils soient impeccablement lisses, les attacha en queue-de-cheval, et enfila son débardeur, son short et ses baskets de jogging. Courir allait lui vider la tête et la réveiller à fond pour bien commencer la journée. Elle embrassa délicatement son chéri avant d'attraper son IPod et ses écouteurs puis sortit dans l'air frais du matin. Elle enclencha une chanson bien punchy pour l'énergie : Take me to the riot, de Stars. La jeune femme ne pouvait pas courir sans musique. Pire : elle ne pouvait pas vivre sans. C'était... son oxygène. Elle s'échauffa durant de longues minutes et s'élança à petites foulées puis prit progressivement de la vitesse. Le vent froid d'automne lui foutait le visage. Elle ferma les paupières et sourit. Elle se sentait parfaitement bien, presque en osmose avec le monde qui l'entourait. C'était exactement cela qu'elle préférait dans la course à pieds : ce sentiment de parfaite liberté, de pouvoir faire ou aller où l'on veut. Après plus de deux heures de course rythmée et intensive, Caly s'arrêta essoufflée et se mit en quête d'un ravitaillement ou, encore mieux, d'un vrai petit-déjeuner. Elle parcourut le quartier et, au moment même où elle allait désespérer, passa devant un Starbucks Coffee. "ENFIN !" Elle entra donc et commanda un bagel et un chocolat chaud puis s'assit à une table du fond. Elle déjeunerait de nouveau avec Milo une fois rentrée mais là, son estomac criait famine. Elle commença à boire lorsqu'elle entendit la cloche de la porte d'entrée tinter.

[→ AGE]

Calypso quitta son appartement du cœur de l'Upper East Side très tôt ce samedi matin là. En soupirant de mécontentement, la jeune fille, qui voulait faire une grasse mâtinée, rejeta la couette et s'extirpa du lit conjugal en faisant attention à ne pas tirer Milo des bras de Morphée. Elle ôta ensuite sa nuisette de soie noire et se précipita sous la douche. Elle en sortit quinze minutes plus tard, se sécha les cheveux jusqu'à ce qu'ils soient impeccablement lisses, les attacha en queue-de-cheval, et enfila son débardeur, son short et ses baskets de jogging. Courir allait lui vider la tête et la réveiller à fond pour bien commencer la journée. Elle embrassa délicatement son chéri avant d'attraper son IPod et ses écouteurs puis sortit dans l'air frais du matin. Elle enclencha une chanson bien punchy pour l'énergie : Take me to the riot, de Stars. La jeune femme ne pouvait pas courir sans musique. Pire : elle ne pouvait pas vivre sans. C'était... son oxygène. Elle s'échauffa durant de longues minutes et s'élança à petites foulées puis prit progressivement de la vitesse. Le vent froid d'automne lui foutait le visage. Elle ferma les paupières et sourit. Elle se sentait parfaitement bien, presque en osmose avec le monde qui l'entourait. C'était exactement cela qu'elle préférait dans la course à pieds : ce sentiment de parfaite liberté, de pouvoir faire ou aller où l'on veut. Après plus de deux heures de course rythmée et intensive, Caly s'arrêta essoufflée et se mit en quête d'un ravitaillement ou, encore mieux, d'un vrai petit-déjeuner. Elle parcourut le quartier et, au moment même où elle allait désespérer, passa devant un Starbucks Coffee. "ENFIN !" Elle entra donc et commanda un bagel et un chocolat chaud puis s'assit à une table du fond. Elle déjeunerait de nouveau avec Milo une fois rentrée mais là, son estomac criait famine. Elle commença à boire lorsqu'elle entendit la cloche de la porte d'entrée tinter.

[CAM]

Samedi matin. Pour Camille c'était synonyme de sport. Peu importait quel sport elle pratiquait, ou avec qui elle en faisait, ce qui importait, c'était qu'elle prenait du temps pour se dépenser. La plupart du temps elle courait avec son frère dans Manhattan. Tôt, ils pouvaient encore se le permettre, les trottoirs n'étant pas trop encombrés, mais ils étaient souvent obligé de se rabattre sur Central Park. Et cette option ne déplaisait guère à Camille car cela leur permettait de voir un peu de verdure et d'éviter de respirer les gaz toxiques des voitures.
Mais ce matin, Paul n'était pas encore levé. Camille savait qu'il était sorti la veille au soir. Elle se doutait donc qu'il ne serait pas en état de courir. Assise devant sur sa chaise haute, face au bar sur lequel trônait son bol de céréales, Camille sourit en imaginant son frère courir dans l'état dans lequel il devait être. Elle finit donc de déjeuner avant de partir en quête de son maillot au fond de son placard. Elle irait donc nager.
Camille aimait vivre avec son frère. Certes l'endroit n'était pas immense, elle n'avait pas vraiment d'espace à elle, mais elle savait que ce n'était que temporaire. Et puis elle préférait encore être là, dans la chambre d'ami de son frère, plutôt qu'au fin fond de Brooklyn dans sa chambre de petite fille. La vie dans Manhattan lui offrait d'autres perspectives de vie et cela lui plaisait !
Après une dizaine de minutes, la jeune assistante trouva enfin ce qu'elle cherchait et fit son sac de sport rapidement. Après quoi en petites foulées elle rejoignit la piscine municipale la plus proche. Même si l'appartement de son frère était dans un immeuble plutôt chic et récent, il ne possédait de piscine sur le toit. Et même si cela avait été le cas, aussi surprenant que cela puisse paraitre, Camille préférait aller à la piscine municipale. Elle aimait l'odeur du chlore, elle aimait le fait que le moindre pas ou le moindre cri résonne. Bien sûr elle n'appréciait guère les enfants qui criaient et couraient dans tous les sens, mais heureusement pour elle, à cette heure là, cela ne serait pas un problème.

Camille venait de passer près d'une heure dans l'eau à enchainer les allers et venus. Elle adorait nager. Elle n'aimait pas le stress de chrono, mais elle adorait juste la sensation de son corps ondulant dans l'eau pour se déplacer. Et puis c'était une activité qui lui permettait de vraiment se dépenser et de faire le vide. Elle n'avait besoin de parler à personne, elle était sous l'eau et elle n'avait qu'à se focaliser sur sa respiration et ses mouvements. A la fois ce sport l'épuisait, dans le bon sens du terme, mais reposait son cerveau.
Mais comme souvent après avoir nagé, Camille n'avait plus rien dans le ventre et il ne lui en fallait pas beaucoup plus pour faire une chute de tension. Et encore heureusement pour elle, il y avait un Starbucks non loin de la piscine et la jolie brune raffolait de leur cookies. Après s'être grossièrement séché et attaché les cheveux, Camille pénétrait enfin dans le starbucks, prête à se faire plaisir, gourmande comme elle était.

[→ TRAVAILLE DEPUIS]

Samedi matin. Pour Camille c'était synonyme de sport. Peu importait quel sport elle pratiquait, ou avec qui elle en faisait, ce qui importait, c'était qu'elle prenait du temps pour se dépenser. La plupart du temps elle courait avec son frère dans Manhattan. Tôt, ils pouvaient encore se le permettre, les trottoirs n'étant pas trop encombrés, mais ils étaient souvent obligé de se rabattre sur Central Park. Et cette option ne déplaisait guère à Camille car cela leur permettait de voir un peu de verdure et d'éviter de respirer les gaz toxiques des voitures.
Mais ce matin, Paul n'était pas encore levé. Camille savait qu'il était sorti la veille au soir. Elle se doutait donc qu'il ne serait pas en état de courir. Assise devant sur sa chaise haute, face au bar sur lequel trônait son bol de céréales, Camille sourit en imaginant son frère courir dans l'état dans lequel il devait être. Elle finit donc de déjeuner avant de partir en quête de son maillot au fond de son placard. Elle irait donc nager.
Camille aimait vivre avec son frère. Certes l'endroit n'était pas immense, elle n'avait pas vraiment d'espace à elle, mais elle savait que ce n'était que temporaire. Et puis elle préférait encore être là, dans la chambre d'ami de son frère, plutôt qu'au fin fond de Brooklyn dans sa chambre de petite fille. La vie dans Manhattan lui offrait d'autres perspectives de vie et cela lui plaisait !
Après une dizaine de minutes, la jeune assistante trouva enfin ce qu'elle cherchait et fit son sac de sport rapidement. Après quoi en petites foulées elle rejoignit la piscine municipale la plus proche. Même si l'appartement de son frère était dans un immeuble plutôt chic et récent, il ne possédait de piscine sur le toit. Et même si cela avait été le cas, aussi surprenant que cela puisse paraitre, Camille préférait aller à la piscine municipale. Elle aimait l'odeur du chlore, elle aimait le fait que le moindre pas ou le moindre cri résonne. Bien sûr elle n'appréciait guère les enfants qui criaient et couraient dans tous les sens, mais heureusement pour elle, à cette heure là, cela ne serait pas un problème.

Camille venait de passer près d'une heure dans l'eau à enchainer les allers et venus. Elle adorait nager. Elle n'aimait pas le stress de chrono, mais elle adorait juste la sensation de son corps ondulant dans l'eau pour se déplacer. Et puis c'était une activité qui lui permettait de vraiment se dépenser et de faire le vide. Elle n'avait besoin de parler à personne, elle était sous l'eau et elle n'avait qu'à se focaliser sur sa respiration et ses mouvements. A la fois ce sport l'épuisait, dans le bon sens du terme, mais reposait son cerveau.
Mais comme souvent après avoir nagé, Camille n'avait plus rien dans le ventre et il ne lui en fallait pas beaucoup plus pour faire une chute de tension. Et encore heureusement pour elle, il y avait un Starbucks non loin de la piscine et la jolie brune raffolait de leur cookies. Après s'être grossièrement séché et attaché les cheveux, Camille pénétrait enfin dans le starbucks, prête à se faire plaisir, gourmande comme elle était.

[→ E-MAILS ENVOYES]

Samedi matin. Pour Camille c'était synonyme de sport. Peu importait quel sport elle pratiquait, ou avec qui elle en faisait, ce qui importait, c'était qu'elle prenait du temps pour se dépenser. La plupart du temps elle courait avec son frère dans Manhattan. Tôt, ils pouvaient encore se le permettre, les trottoirs n'étant pas trop encombrés, mais ils étaient souvent obligé de se rabattre sur Central Park. Et cette option ne déplaisait guère à Camille car cela leur permettait de voir un peu de verdure et d'éviter de respirer les gaz toxiques des voitures.
Mais ce matin, Paul n'était pas encore levé. Camille savait qu'il était sorti la veille au soir. Elle se doutait donc qu'il ne serait pas en état de courir. Assise devant sur sa chaise haute, face au bar sur lequel trônait son bol de céréales, Camille sourit en imaginant son frère courir dans l'état dans lequel il devait être. Elle finit donc de déjeuner avant de partir en quête de son maillot au fond de son placard. Elle irait donc nager.
Camille aimait vivre avec son frère. Certes l'endroit n'était pas immense, elle n'avait pas vraiment d'espace à elle, mais elle savait que ce n'était que temporaire. Et puis elle préférait encore être là, dans la chambre d'ami de son frère, plutôt qu'au fin fond de Brooklyn dans sa chambre de petite fille. La vie dans Manhattan lui offrait d'autres perspectives de vie et cela lui plaisait !
Après une dizaine de minutes, la jeune assistante trouva enfin ce qu'elle cherchait et fit son sac de sport rapidement. Après quoi en petites foulées elle rejoignit la piscine municipale la plus proche. Même si l'appartement de son frère était dans un immeuble plutôt chic et récent, il ne possédait de piscine sur le toit. Et même si cela avait été le cas, aussi surprenant que cela puisse paraitre, Camille préférait aller à la piscine municipale. Elle aimait l'odeur du chlore, elle aimait le fait que le moindre pas ou le moindre cri résonne. Bien sûr elle n'appréciait guère les enfants qui criaient et couraient dans tous les sens, mais heureusement pour elle, à cette heure là, cela ne serait pas un problème.

Camille venait de passer près d'une heure dans l'eau à enchainer les allers et venus. Elle adorait nager. Elle n'aimait pas le stress de chrono, mais elle adorait juste la sensation de son corps ondulant dans l'eau pour se déplacer. Et puis c'était une activité qui lui permettait de vraiment se dépenser et de faire le vide. Elle n'avait besoin de parler à personne, elle était sous l'eau et elle n'avait qu'à se focaliser sur sa respiration et ses mouvements. A la fois ce sport l'épuisait, dans le bon sens du terme, mais reposait son cerveau.
Mais comme souvent après avoir nagé, Camille n'avait plus rien dans le ventre et il ne lui en fallait pas beaucoup plus pour faire une chute de tension. Et encore heureusement pour elle, il y avait un Starbucks non loin de la piscine et la jolie brune raffolait de leur cookies. Après s'être grossièrement séché et attaché les cheveux, Camille pénétrait enfin dans le starbucks, prête à se faire plaisir, gourmande comme elle était.

[→ AGE]

Samedi matin. Pour Camille c'était synonyme de sport. Peu importait quel sport elle pratiquait, ou avec qui elle en faisait, ce qui importait, c'était qu'elle prenait du temps pour se dépenser. La plupart du temps elle courait avec son frère dans Manhattan. Tôt, ils pouvaient encore se le permettre, les trottoirs n'étant pas trop encombrés, mais ils étaient souvent obligé de se rabattre sur Central Park. Et cette option ne déplaisait guère à Camille car cela leur permettait de voir un peu de verdure et d'éviter de respirer les gaz toxiques des voitures.
Mais ce matin, Paul n'était pas encore levé. Camille savait qu'il était sorti la veille au soir. Elle se doutait donc qu'il ne serait pas en état de courir. Assise devant sur sa chaise haute, face au bar sur lequel trônait son bol de céréales, Camille sourit en imaginant son frère courir dans l'état dans lequel il devait être. Elle finit donc de déjeuner avant de partir en quête de son maillot au fond de son placard. Elle irait donc nager.
Camille aimait vivre avec son frère. Certes l'endroit n'était pas immense, elle n'avait pas vraiment d'espace à elle, mais elle savait que ce n'était que temporaire. Et puis elle préférait encore être là, dans la chambre d'ami de son frère, plutôt qu'au fin fond de Brooklyn dans sa chambre de petite fille. La vie dans Manhattan lui offrait d'autres perspectives de vie et cela lui plaisait !
Après une dizaine de minutes, la jeune assistante trouva enfin ce qu'elle cherchait et fit son sac de sport rapidement. Après quoi en petites foulées elle rejoignit la piscine municipale la plus proche. Même si l'appartement de son frère était dans un immeuble plutôt chic et récent, il ne possédait de piscine sur le toit. Et même si cela avait été le cas, aussi surprenant que cela puisse paraitre, Camille préférait aller à la piscine municipale. Elle aimait l'odeur du chlore, elle aimait le fait que le moindre pas ou le moindre cri résonne. Bien sûr elle n'appréciait guère les enfants qui criaient et couraient dans tous les sens, mais heureusement pour elle, à cette heure là, cela ne serait pas un problème.

Camille venait de passer près d'une heure dans l'eau à enchainer les allers et venus. Elle adorait nager. Elle n'aimait pas le stress de chrono, mais elle adorait juste la sensation de son corps ondulant dans l'eau pour se déplacer. Et puis c'était une activité qui lui permettait de vraiment se dépenser et de faire le vide. Elle n'avait besoin de parler à personne, elle était sous l'eau et elle n'avait qu'à se focaliser sur sa respiration et ses mouvements. A la fois ce sport l'épuisait, dans le bon sens du terme, mais reposait son cerveau.
Mais comme souvent après avoir nagé, Camille n'avait plus rien dans le ventre et il ne lui en fallait pas beaucoup plus pour faire une chute de tension. Et encore heureusement pour elle, il y avait un Starbucks non loin de la piscine et la jolie brune raffolait de leur cookies. Après s'être grossièrement séché et attaché les cheveux, Camille pénétrait enfin dans le starbucks, prête à se faire plaisir, gourmande comme elle était.